Une aide inespérée { Libre }

Le matin ce levant sur la paisible clairière, ou habite notre petite renarde, de faible rayon de soleil commença à pénétrer la massif couche feuillu des arbres cachant le ciel. Quelque rayons tombèrent sur Spica, qui dormait à la belle étoile, réchauffant son doux visage endormie. Elle commença alors à ouvrir ses petit yeux jaune et vit le peu de couche bleu apparent dans le ciel à travers les feuilles. Elle se leva alors, bailla un petit coup, et vit qu'un couple d'oiseau c'était fraîchement installés dans un arbre près de son foyer durant la nuit puis elle esquissa un sourire. Elle grignota quelques baies qui traînaient dans les parages puis se dirigea vers une petite source d'eau pour se rafraîchir. Durant le voyage, elle vit plusieurs petits animaux gambadais tel des écureuil ou encore des plus grands comme des biches.  Une fois arrivé à destination, la source baignant dans la lumière du soleil, elle s'en approcha et commença à enlever ses vêtements, les laissant tomber par terre. Elle rentra alors son gracieux corps nue dans l'eau, qui était pile à la bonne température, et lava son corps et ses queues. Une fois son bain terminé, elle sortie de l'eau, se rhabilla et se demanda alors ce qu'elle pourrait faire aujourd'hui...

Spica, d'une humeur joyeuse et aventureuse décida alors, après quelque minute de réflexion, de s'aventurer en ville, la ou elle va très rarement... Elle se dirigea alors jusqu'à l'orée du bois en passant devant la ferme de son ami, lui adressa en signe de la main en guise de salutation qu'il s'empressa de rendre et continua son chemin en direction de la ville. Sous le ciel bleu accompagné d'une agréable brise matinal, elle vit plusieurs marcheur, dont elle évita de s'approcher, et quelques habitations. Une fois arrivé devant l'entrée de la majestueuse et vivante ville, elle se sentie alors mal à l'aise, dût au monde présent et du faite que c'était un lieu dont elle n'avait pas l'habitude, et prenant son courage à deux mains y pénétra. Elle se fraya alors un chemin parmi les foules de personnes parcourant les routes, dont certain la regardaient plus ou moins d'un air interrogatif à cause des ses queues, ne devant pas être habituer à ce genre de personne, mais elle essaya de ne pas y prêter attention. N'ayant pas l'habitude de tant de monde, elle fatigua vite et voulant s’asseoir, elle décida de chercher un petit coin assez reclus  pour pouvoir se reposer. Ne sachant pas ou elle allait, ses pas marchant droit devant elle à travers les routes bordées de grand immeuble. Elle commença alors à entendre de gros bruit de sirène et quelque annonce. 

Elle se stoppa alors et regarda devant elle. Une immense battisse se trouva alors devant elle, dont les mots "Gare de Wonderland" étaient écrit avec des lettres en métal. Elle s'approcha alors et fit un pas dans l'immense porte qui sert d'entrée. Une fois à l'intérieur, elle regarda alors aux alentours et vit plusieurs personnes courant de part et d'autre de la gare en regardant leurs montre ou alors attendant patiemment quelque chose au côté de grosse valise dans cette immense pièce. Ne se sentant pas de s'aventurer plus à l'intérieur elle sorti puis une odeur familière lui chatouilla les naseaux. La jeune renarde ne tarda pas à reconnaître l'odeur, fraîche et sucrée, qui parcourait l'air. D'un pas décidé, savant ou elle allait, sans prêter attention aux personnes aux alentours, se rapprocha de la source de l'odeur. Un large sourire apparu alors sur son visage en voyant un étalage remplie de pomme qui se trouva à quelque mètre de l'entrée de la gare. Elle marcha vite jusqu'à l'étalage et une fois à côté, les yeux fixés sur les pommes, la bouche grande ouverte, elle saisit une pomme de la façon la plus naturelle possible et croqua dedans. Ne sachant pas ce qu'est l'argent, elle ne compris pas le regard haineux que lui lança le vendeur, assez grand, d'une bonne musculature. Le vendeur s'approcha alors vite de Spica, lui attrapant le bras d'un coup secs et d'une poigne ferme qui lui fît mal. Spica prise de panique, ne sachant pas pourquoi l'homme faisait ça, lança alors un regard rempli de détresse aux nombreuse personnes regardant la scène comme ci tout cela était normal et ne bougèrent pas d'un pouce. La jeune renarde en détresse voyant que personne ne bougeaient, baissa les yeux en espérant que quelqu'un viendrais la sauver...

Quelque minutes étaient déjà passées mais pour Spica cela représentait une éternité. Soudain, elle vît une jeune fille aux longs cheveux argentés s'approcher d'elle et l'entendit dire :

"Hé ! Lâchez la ! Vous lui faites mal et vous l'effrayez !" 




"Euh... Tu es une enfant... ? Euuh... Je me présente : Yushiko Tanaka."