Haut les mains c'est un hold-up! (PV: Spica)

"Tiens, aujourd'hui sors le dernier shonen-jump." Se dit Lucian en se réveillant à côté du cadavre de sa dernière victime. Il alla dans la salle de bain pour se passer un coup sur le visage, remarquant qu'il était maculé de sang. Ses vêtements étaient complètement irrécupérables. Il alla donc dans la penderie de celui qu'il avait tué pour voir ce qu'il avait, une fois qu'il eut prit une douche, cela va de soi. Il récupéra un vieux jean ainsi qu'un t-shirt domynos et s'en vêtit pour aller au centre commercial. Le Shonen-jump, devrait attendre qu'il se soit acheté des vêtements propres.

Se dirigeant alors vers une petite boutique de vêtements, il remarqua des drôles d'électricien à quelques pas. N'y prêtant pas attention, il rentra dans le magasin. Ce faisant, il passa quelques dizaines de minutes à chercher des vêtements lui convenant avant de trouver exactement ce qu'il voulait! Le même uniforme que celui qu'il avait porté jusque là! Il le décrocha en se dirigeant le cœur léger vers la caisse, préparant quelques billets pour payer l'uniforme lorsque la lumière fut coupée. Lucian pensa à quelque chose à sortir dans ces circonstances et chanta haut et fort :

Joyeux anniversaire,


Joyeux anniversaire,


Joyeux anniversaire... qui que ce soit...


Joyeux anniversaire!


La lumière revint alors permettant à tous dans le magasin, de voir quatre types en tenue de combat noire, cagoule noire, treillis noir, veste de combat noir etc... Évidemment, Lucian s'intéressa d'abord aux armes qu'ils avaient. Deux avec un fusil à pompe et deux autres avec des fusils mitrailleurs. Certains avaient même des grenades sur eux. Bref, c'était chaud comme truc.
Et sortit alors la phrase culte de ce genre de situation :


Haut les mains! C'est un hold-up!

Par un soir de pleine lune, Spica voyant des oiseaux voler dans le ciel décida d'utiliser son dons pour voir ce qu'y se disait dans le ciel : Hey, t'as vu George, apparemment les humains ont une nouvelle collection de vêtement qui devrait arriver dans la journée de demain, ça te dirai d'aller les voir? Ça nous occuperais.


Après ces mots, dû à l'épuisement que lui procure son pouvoir, s'écroula sur son lit et s’endormie. Le lendemain, après un bon petit déjeuner, Spica décida d'aller voir ces fameux vêtement. Elle se dirigea en direction de la ville et plus précisément du centre commercial. Elle y rentra et vu une cohue de gens, hésitante au début à continué son chemin, elle s'avança quand même. Quelque minute plus tard, elle vit le fameux magasin de vêtement, elle y pénétra et commença à fouiller toute contente de tout ces beaux vêtements. Soudain la lumière s’éteignit, elle commença à se sentir mal et soudain elle entendit, venant du magasin: 
Joyeux anniversaire,


Joyeux anniversaire,


Joyeux anniversaire... qui que ce soit...


Joyeux anniversaire!

Lucian ne leva pas tout de suite les mains, ce qui lui valut de se faire braquer par l'un des gars au pompe qui s'approcha de lui en l'engueulant.

Eh toi! Les mains en l'air on a dit, t'as pas capté?

Attendez 30 secondes vous voulez bien? Lui répliqua-t'il en sortant un billet, le lui donnant.

Il sortit ensuite plus d'argent qu'il posa sur la table de la caisse et commença à baisser son pantalon et retirer son t-shirt.

C'est pas une cabine d'essayage ducon! Gueula le monsieur au shotgun qui donna par la même, un coup de crosse à Lucian.

Ecoutez, si vous venez voler l'argent de la caisse, sachez que je suis en train d'en rajouter c'est pas mieux? Bon, si vous voulez-bien me laisser m'habiller pour aller me mettre autre-part dans la salle...

Lucian termina alors de se rhabiller sous les yeux ébahis des otages. Discrètement, lorsqu'il eut fini, il laissa filtrer un bon morceau de son aura autour de lui en s'assurant que ça n'atteigne que monsieur fusil à pompe qui s'écroula net, le cœur arrêté.

Les autres membres s'exitèrent et pointèrent leurs armes sur Lucian qui sauta sur le côté en lançant une très grosse vis dans l'épaule. Le type hurla de douleur. Les deux mitraillettes pointèrent leurs armes sur Lucian mais c'était déjà fini. Une sorte de sphère d'aura meurtrière se forma autour de celui du milieu, atteignant ainsi aussi les deux autres et tous trois s'écroulèrent suite à une crise cardiaque.

Lucian se releva en époussetant ses épaules avant de demander si quelqu'un s'était blessé.

Spica couchée sur le sol, tétanisée, essaya tant bien que mal à aller dans un endroit ayant l'air à l'abris de la vue des malfaiteurs. Soudain, elle arriva proche d'un jeune homme, debout, face aux terroristes. L'un des hommes armés braqua son fusil à pompe sur le jeune homme et commença à lui crier dessus. Cependant, le jeune homme sembla ne pas réagir et au contraire sortie des pièces pour remplir la caisse puis se déshabiller. Spica étant au première loge, ne bougea plus et regarda ce qui se passer d'un air interrogatif en se demandant ce qu'il faisait. S'en vint alors un échange verbal plus ou moins fort en fonction de la personne qui parlait puis il se rhabilla. Juste après, l'horreur arriva et Spica n'eu pas le temps de dire "ouf" et de comprendre ce qui se passait que les hommes armés étaient déjà tous à terre sans aucun signe de blessure ou de sang apparent et seul le jeune homme devant elle était debout. Il demanda alors si il y avait des blessées.

Spica ne fît pas attention aux réponses données par les autres, étant encore sous le choc de l'événement,  se releva en tremblant un petit peu. Elle s'approcha un peu de l'homme en évitant de regarder les cadavres qui gisaient sur le sol puis tapota doucement l'épaule de leur "sauveur" et d'une voix incertaine lui demanda ce qu'il venait de se passer.

Lucian alla récupérer sa vis pour l'a nettoyer avec son ancien t-shirt avant de retourner près de la caisse pour vérifier qu'il avait bien laissé le bon compte pour son uniforme déjà porté. Il entendit quelqu'un s'approcher de lui et sentit un tapotement sur son épaule.
Il se retourna pour observer une charmante jeune fille qu'il trouvait excessivement habillée pour une sortie dans un magasin. Elle semblait avoir environ le même âge que lui, portait une tenue à dentelles très ample ne laissant nullement deviner sa corpulence, "chose pratique pour cacher une arme" pensa Lucian.
Elle lui demanda ce qu'il s'était passé, le sortant de son analyse physique. Et c'est le plus naturellement du monde et avec son habituel sourire idiot qu'il répondit :

Les braqueurs n'étaient pas assez forts pour résister à mon charisme...


Puis montra sa vis.


Ou à mon vice?


Oui, c'était un jeu de mot idiot et facile mais il l'assumait pleinement! Il continua rapidement d'observer la jeune fille et vit qu'elle possédait plusieurs queues touffues et portait une sorte de bonnet à forme étrange ... mais alors...
Il souleva de le bonnet de la jeune femme pour remarquer deux oreilles animales.

Tiens, une kitsune. Bonjour kyuubi-chan.



Lui sortit-il avec un gentil sourire tandis que tous dans le magasin étaient stupéfait du spectacle qu'ils avaient sous les yeux.